« J'abordais la terre avec beaucoup de respect, très consciente de ce que la terre était : la matière des premiers temps de la vie, unique, charnelle, lourde, femelle et que j'imaginais rétive et pleine de sa propre vie. »
Marie-Paule Deville Chabrolle
« Demeurer dans le silence des heures blanches »
Marie-Paule Deville Chabrolle